Les États, piégés par contrats, étouffent l’Ivermectine et la démocratie !

Depuis l’arrivée des vaccins COVID qui ont été approuvés en quelques mois, je me suis toujours demandé pourquoi l’OMS et tous les autres organismes d’États, mettaient autant de temps pour valider des études réalisées sur les traitements. La réponse nous vient d’Angleterre, des États-Unis et d’Israël et de nombreux chercheurs.

Les gouvernements pieds et poings liés par les contrats signés avec l’industrie pharmaceutique.

Aucun élu européen n’a pu lire les contrats signés par la Commission européenne pour l’achat des vaccins… et pour cause ! L’expert anglais en sécurité de l’information Ehden Biber a lu et affirme :

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« Si vous vous demandiez pourquoi l’ivermectine a été supprimée, c’est parce que l’accord que les pays avaient avec Pfizer ne leur permet pas d’échapper à leur contrat, qui stipule que même si un médicament sera trouvé pour traiter COVID-19, le contrat ne peut pas être annulé ».

(source + « ET SI LES CONTRATS DE PFIZER ÉTAIENT DÉCLARÉS ILLÉGAUX? ». Vous tapez EHDEN BIBER sur Google et vous aurez toutes les versions).

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(Dans ce long article très documenté, publié sur le site Suisse, « Impertinence », « Vaccination : les raisons de la méfiance », est mentionnée la source de Ehden Biber ).

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Mais l’Ivermectine est-elle vraiment efficace ?

Des tonnes d’articles dans la médiasphère mettent en doute les bienfaits de ce traitement très peu coûteux. Pour se faire une idée, il est préférable d’accéder directement aux conclusions des récentes études publiées et commentées par les chercheurs. J’en ai sélectionné deux, de sources non-françaises pour se libérer des dépêches de l’AFP et de ses rapporteurs.

1- «The Jerusalem Post»

« Un scientifique israélien affirme que la COVID-19 pourrait être traitée pour moins de 1 dollar par jour. (2 août 2021)

Extraits traduit de l’anglais :

« Notre étude montre d’abord et avant tout que l’ivermectine a une activité antivirale », a déclaré Schwartz. « Cela montre également qu’il y a presque 100 % de chances qu’une personne ne soit pas infectieuse dans quatre à six jours, ce qui pourrait réduire le temps d’isolement de ces personnes. Cela pourrait avoir un impact économique et social énorme. »

Par exemple, l’étude publiée plus tôt cette année dans l’ »American Journal of Therapeutics » (voir ci-dessous) a souligné qu’« un examen par la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance a résumé les résultats de 27 études sur les effets de l’ivermectine pour la prévention et le traitement de l’infection COVID-19, concluant que l’ivermectine « démontre un signal fort d’efficacité thérapeutique » contre COVID-19 ».

« Une autre étude récente a révélé que l’ivermectine réduisait les décès de 75 % », indique le rapport. Mais l’Ivermectine n’est pas sans controverse, et par conséquent, malgré les niveaux élevés de coronavirus dans le monde, ni la FDA ni l’Organisation mondiale de la santé n’ont été disposées à l’approuver pour une utilisation dans la lutte contre le virus. »

« Il y a beaucoup d’opposition », a-t-il déclaré. « Nous avons essayé de le publier, et il a été rejeté par trois revues. Personne ne voulait même en entendre parler. Vous devez vous demander comment se fait-il que le monde souffre. »« Ce médicament n’apportera pas de gros profits économiques », et donc Big Pharma ne veut pas s’en occuper, a-t-il déclaré. »

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2- «L’American Journal of Therapeutics»

« Ivermectine pour la prévention et le traitement de l’infection à LA COVID-19 : revue systématique, méta-analyse et analyse séquentielle d’essais pour éclairer les lignes directrices cliniques »(juillet-août 2021)

Conclusions sur le résumé de 27 études : extraits

« Compte tenu des preuves d’efficacité, d’innocuité, de faibles coûts et de taux de mortalité actuels, l’ivermectine est susceptible d’avoir un impact sur les résultats sanitaires et économiques de la pandémie dans de nombreux pays ». 

« Les corticostéroïdes sont devenus une norme de soins acceptée dans la COVID-19, basée sur un seul Essai randomisé contrôlé (ECR) de dexaméthasone. Si un seul ECR est suffisant pour l’adoption de la dexaméthasone, alors a fortiori la preuve de 2 douzaines d’ECR soutient l’adoption de l’ivermectine.

L’ivermectine est susceptible d’être une intervention mondiale équitable, acceptable et réalisable contre la COVID-19. Les professionnels de la santé devraient fortement envisager son utilisation, à la fois dans le traitement et la prophylaxie ».

Conclusion à partir de ces 2 études :

L’étude en Israël nous apprend, que ni la FDA ni l’Organisation mondiale de la santé ne sont disposées à approuver l’ivermectine pour une utilisation dans la lutte contre le virus. Dans la méta-analyse américaine portant sur 27 études, c’est la même chose en apprenant en plus que les exigences pour adopter l’Ivermectime sont abusives et relèvent quasiment du sabotage. Un parallèle peut être observé sans difficulté avec le rejet de l’hydroxychloroquine.

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En dehors des études, il y a des résultats :

Japon

Pour nous mettre dans l’ambiance apaisante des Japonais, je vous recommande cet article « Sauver des vies, une volonté Japonaise ». Extraits :

« Le monde est aujourd’hui plongé dans une lutte contre l’épidémie de COVID-19. […] Quel est l’esprit qui anime aujourd’hui la recherche scientifique japonaise, incarné par OMURA Satoshi, lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine découvreur de l’Ivermectine ? De nombreux chercheurs japonais, animés par cet esprit altruiste, travaillent actuellement avec ardeur à la mise au point de médicaments contre le COVID-19. L’Institut Kitasato, au sein duquel le Pr Omura est professeur émérite, a d’ores et déjà entrepris un projet pour mettre au point des dispositifs de découverte précoce de traitements thérapeutiques. Dans le cadre de ce projet, l’Institut envisage de mettre au point un criblage à grande échelle des médicaments existants, parmi lesquels l’ivermectine ».

Quelques mois plus tard, le président de l’association médicale de Tokyo, réitère son enthousiasme pour l’ivermectine, contre l’avis de ses détracteurs occidentaux.

Lire : « Le Japon prescrit l’ivermectine depuis le mois d’août… »

Inde :

Aller observer les résultats du nombre de décès entre l’État du Kérala, un des rares sans Ivermectine (70 % de vaccinés, 35 millions d’habitants, 206 décès par jour = 50 % des décès de l’Inde pour 4 % de sa population), et tous les autres qui en prennent à l’image du plus peuplé, l’Uttar Pradesh (5 % de vaccinés, 230 millions d’habitants, 0 décès par jour). Il faut souligner qu’il n’y a pas d’études randomisées, mais des résultats qui sont évalués dans chaque État selon les mêmes méthodes.

Afrique :

Ci-dessous une carte de l’Afrique entre les pays qui utilisent l’Ivermectine (En bleu) et ceux qui ne l’utilisent pas.

En conclusion

Les conflits d’intérêts avec les géants de l’Industrie pharmaceutique ne fait quasiment plus aucun doute. Tous les secrets qui entourent les contrats, la gestion de l’épidémie par un Conseil de défense en France, la mise à l’écart des médecins traitants, le rejet de toutes alternatives aux vaccins, etc.

De plus, une étude française (ICI) présentée sur LCI (ICI) démontre que sur 27 000 personnes qui disaient souffrir de la « covid longue », 96 % n’ont jamais été porteuses du virus. Ainsi, le nombre de personnes réellement touchées par le virus s’élèverait à 330 000 contre les 8,3 millions de positifs publiés par le gouvernement ! (rappel : 1,25 million de consultations pour syndrome grippal durant l’épidémie 2019/2020)

Si l’on ajoute à tout ceci qu’il n’est pas constaté à ce jour une surmortalité en France, il existe donc de sérieux doute sur la réalité des évènements qui nous sont ingurgités à longueur de journaux télévisés et autres.

Le graphique ci-dessous émane d’une construction du « Réseau sentinelles » (le même réseau qui est chargé de suivre l’épidémie de grippe et qui renseigne Santé Publique France). Il est de nature à confirmer que ce gouvernement ne dit pas la vérité. Il est piégé, comme tous ceux des pays occidentaux, par les contrats qui les lient à l’industrie pharmaceutique.

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COMPLÉMENT DU 24 DÉCEMBRE 2021

« L’ivermectine n’est pas reconnue comme traitement de la covid parce que son expert OMS a été corrompu »

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Les gouvernements ne gouvernent plus et cette crise n’est plus sanitaire, mais politique. Certains disent que la démocratie est en danger. La réalité est en train de leur donner raison.

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Source image : Tribune: « Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident », signée par plus de 2000 chercheurs, médecins, scientifiques,…)

2 commentaires

  1. Le diagramme est on ne peut plus significatif! Quant à l’ivermectine, son efficacité est due au fait que ds cette « chimère » sont inclus des brins d’ARN de la malaria .Voir le Pr ZELENKO, qui a soigné D.TRUMP, qui affirme au gd conseil juif orthodoxe qu il s’agit d’un génocide et « qu’ils ont dejà donné ». La video des Drs F.ZALEWSKI et C.MADEJ sont tres interessantes.

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    1. Oui j’ai vu cette vidéo et d’autres. Mais de là à parler de génocide, il faudra observer les courbes de décès qui, pour le moment sont stables et même, sur ces deux derniers mois, en retrait par rapport aux autres années.

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