Déjeuner-buffet, remise de médaille, petit-déjeuner républicain, commémoration du 11 novembre, visite d’exposition, inauguration, visites des ruines portuaires et de l’hôpital qui suspend les contrats de travail des récalcitrants, seront vos principales séquences de cette visite touristique. Mais, si le territoire devrait s’enorgueillir d’accueillir les ministres de la République, il ne peut oublier la réalité de l’action du gouvernement auxquels ils appartiennent.
Les majorités sont cajolées pendant que les minorités sont écrasées. De gré ou de force la covid-19 fracture le pays. La fraternité n’est plus qu’une devise vide de sens. Ils ont l’air sympathiques, ministres, députés LREM, mais ils approuvent sans réserve les mesures liberticides dont peu de monde mesure aujourd’hui la portée. Par exemple, le sort réservé aux professionnels non-vaccinés tient de l’infamie :
Suspendre le contrat de travail, ne plus verser de salaire, interdire de travailler ailleurs, refuser les allocations pour perte d’emploi et tout ceci pour insoumission ! C’est une infamie de ce gouvernement et donc de ses ministres et donc des députés qui marchent sur la tête !
Réduire à la misère des héros du pic pandémique qui ne se plient pas aux exigences d’un Président qui se cache derrière un Conseil de défense, qui impose au gouvernement des mesures liberticides que les députés votent sans discernement. Voilà l’œuvre de ce nouveau pouvoir qui vogue de mensonges en mensonges.
Lectrices et lecteurs, prenez une minute pour lire ce qui suit :
Comme chaque année, l’automne va générer un rebond des décès toutes causes confondues qui passera de 1600 par jour en moyenne ce mois-ci, à 1700, puis 1800 dans l’hiver pour atteindre 1900 en fin décembre et les 2000 en février avant d’entamer un retour vers les 1600 et moins à partir du printemps. (voir tableau INSEE) Si l’augmentation de la mortalité a été nette en 2020, elle redevient tout à fait normale depuis le mois de mai 2021. Mais déjà, pour le président, ses ministres, ses députés, l’augmentation de ces décès ordinaires est portée à la cause de la COVID-19. Oui, il va y avoir 400 décès de plus par jour entre ce mois-ci et la fin du printemps et cela n’aura rien à voir avec la COVID-19 ! Il en est ainsi chaque année.
L’ANSM précise dans ses rapports « qu’au-delà de l’âge de 50 ans les décès ne font pas l’objet d’analyse approfondie », en sachant que les personnes décédées au-delà de 50 ans représente plus de 90 % des cas ! Ainsi, l’on apprend que plus de 90 % des causes de décès attribuées à la COVID-19 ne font pas l’objet d’analyse approfondie.
Ci-dessous, quelques chiffres en rappel de l’évolution de la pandémie selon Santé Publique France (SPF), chiffres qui sont majorés de 50 % environ, car Santé publique France comptabilise tous les décès porteurs du virus, que les personnes soient atteintes d’un cancer ou autres malades incurables.
- 1 417 personnes décédées positives à la COVID-19 le 7 avril 2020,
- 1 138 – le 20 novembre 2020,
- 308 – le 1er avril 2021
- 53 – le 29 aout 2021
- 39 – en moyenne sur 7 jours au 8 novembre 2021, sur un peu plus de 1 600 décès quotidiens.
Rappelons qu’entre le début de la vaccination, le 26 décembre 2020 et le 26 aout 2021, l’ANSM a recensé 1 223 décès de personnes entièrement vaccinées, soit 152 par mois et 5 par jour. L’efficacité contre les formes graves en prend un sacré coup ! (article ICI)
Alors, oui les vaccins ne garantissent ni la protection, ni la transmission, perdent de leur efficacité au fil des mois au point de justifier des rappels sans garantie de protection efficace. Ainsi cela devient quelque chose qui s’oppose à l’éthique médicale.
Dans un communiqué du lundi 8 novembre la Haute Autorité de Santé précise :
« Les résultats de l’étude de pharmaco-épidémiologie (étude mise en œuvre par le GIS EPI-PHARE) montrent que la vaccination contre la Covid-19 par les vaccins à ARNm (Spikevax à 100 µg et Comirnaty) augmente globalement le risque de myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination chez les personnes âgées de 12 à 50 ans, avec une évolution clinique généralement favorable et une durée moyenne de séjour de 2 à 4 jours. L’association de risque de myocardite apparait plus marquée chez les hommes de moins de 30 ans en particulier au décours de la deuxième dose de Spikevax. L’excès de risque après la seconde dose est moindre avec le vaccin Comirnaty comparativement au vaccin Spikevax (100 µg). »
Mais poursuit la HAS,
« dans l’attente de données complémentaires sur le risque de myocardites et des conclusions du PRAC attendues dans les prochaines semaines et compte tenu de l’insuffisance de recul sur le risque de myocardites avec le vaccin Spikevax (Moderna) utilisé en demi-dose pour le rappel (50 µg) en raison des effectifs limités inclus dans les essais, la HAS recommande, pour la population âgée de moins de 30 ans et dès lors qu’il est disponible, le recours au vaccin Comirnaty (Pfizer) qu’il s’agisse du schéma de primovaccination ou du rappel. »
Et après cela, certains intégristes de la vaccination continue d’affirmer que ces vaccins ne sont plus en phase d’essais clinique et qu’ils offrent toutes les garanties. Ils étaient quatre vaccins sur la ligne de départ et aujourd’hui il ne reste que celui fabriqué par le laboratoire le plus condamné au monde pour corruption et tout le monde, ou presque, trouve cela normal ! Pfizer triche
Imposer la 3e dose pour éviter les formes graves est un leurre quand ces formes graves ne représentent que 407 admissions en réanimation sur 7 jours, soit moins de 60 personnes par jour, sur 67 millions de Français, dont 51 millions de vaccinées ! (source SPF)
C’est un leurre en métropole et c’est inexplicable dans l’archipel.
Vous prenez les habitants pour des imbéciles.
__________
L’interview du journaliste d’investigation Xavier Bazin est éloquent sur ces questions.
merci pour moi, soignante liberale, j’ai reçu cette lettre ignomigneuse de l ARS…obligée de stopper, je « survis »
J’aimeJ’aime