Après avoir affirmé que les vaccins étaient efficaces à plus de 90 %, un an plus tard, il s’avère, qu’ils n’empêchent ni la contamination, ni la transmission. Cela fait aujourd’hui consensus. Il ne reste plus comme argument que la protection des formes graves. Si l’on s’écarte un instant des diversions gouvernementales, il semblerait que cette affirmation ne résiste pas longtemps à l’épreuve des faits. La première interrogation qui mériterait d’être posée, c’est de savoir comment un vaccin qui ne protège pas, peut devenir efficace contre les formes graves ?
Deux éléments caractérisent les formes graves : les hospitalisations et les décès.
En ce qui concerne les hospitalisations :
En ce qui concerne les hospitalisations, cette protection est loin d’être évidente. Voici la courbe des hospitalisations depuis 2 ans.

Nous avons autant d’hospitalisations que dans les 3 vagues sans vaccin. On peut donc se demander si cela protège vraiment. Avec plus de 90 % de la population à risque, vaccinée, on ne note aucune différence.
En ce qui concerne les décès :
Second critère : les décès. Nous avons presque autant de décès qu’en février ou avril 2021, début des vaccinations. Aujourd’hui il y a plus de décès avec 15 fois plus de vaccinés ? Là encore, cette baisse des cas graves ne semble pas au rendez-vous.

Autre constatation : si on compare 2020, année sans vaccin avec 2021 qui a vu près de 80 % de la population se faire vacciner, il y a eu autant de décès ! 65 000 chaque année ! Pas un de moins. Alors protection des formes graves, mais pas des décès ?
Il n’y a donc aucune modification du nombre de décès avec la vaccination. Pire, il y avait en 2021 moins de personnes âgées avec comorbidités, susceptibles de décéder, 2020 en ayant emporté déjà un certain nombre. La logique aurait voulu qu’il y ait moins de décès !
Selon la DRESS, au 1er janvier 2022, 89,8 % des Français de plus de 12 ans éligibles à la vaccination bénéficiaient d’une vaccination complète, plus encore chez les personnes à risques : près de 7 800 décès en un mois, soit un rythme de 93 000 décès sur un an, 30 % de plus qu’en 2020 ou en 2021 ! Vous avez dit protection des formes graves ?
Des variants, moins virulents.
Enfin 2022 ! Le variant omicron est connu désormais pour sa forte contagiosité, mais aussi pour sa très faible létalité. Où trouver des statistiques montrant une baisse des cas graves ? Si ce n’est pas évident pour le nombre d’hospitalisations, encore moins pour les décès, on peut peut-être les trouver dans les hospitalisations en soins intensifs ou critiques. C’est un fait indéniable, il y a moins d’hospitalisés dans ces unités, malgré plus de cas. Mais là, intervient un autre facteur : les variants sont de moins en moins virulents, d’où moins de cas graves, il faut en tenir compte, c’est le facteur le plus important. Alors moins d’hospitalisés en soins critiques en raison de la vaccination ou de variants moins virulents ?
Alors pourquoi se faire encore vacciner ?
S’ils ne protègent ni de la contagion, ni de la contamination, ni des formes graves, comme tend à le démontrer les observations ci-dessus, alors pourquoi se faire vacciner ? Partis de 95 % d’efficacité en 2 doses à une efficacité passagère avec 3, voir 4 doses, l’efficacité vaccinale s’atrophie chaque jour au fil des observations factuelles.
Enfin, pourquoi imposer un pass vaccinal sur la base d’un vaccin conçu pour un virus qui n’existe plus et qui, de par cette réalité, ne protège de rien ?
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(1) Cet article et les graphiques sont largement inspirés d’un article paru dans « Covid : faits et chiffres »

ne pas se faire piquer: on est en « secret défense »(???) et on ne sait pas ce qu’il y a ds ces fioles. Et quand 1 traitement (ds ce cas: plusieurs!) existe , la creation d’1 vaccin est INUTILE;La définition du mot PANDEMIE a été changée par l’OMS en…2019…Ce n’est certainement PAS un vaccin!
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vidéo très très interessante:
https://1scandal.com/medias-game-over/
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Il serait bien d’avoir une réponse officielle des gouvernements face à la réalité des chiffres pour justifier des mesures prises qui ont coûté des milliards, tant pour certains secteurs de l’économie que pour le contribuable qui a financé les aides apportées. Sans oublier les autres milliards investis dans les vaccins et les tests.
Je pense que certains partis n’hésiteront pas à demander des justifications et des comptes !
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