COVID-19 : les médecins de Saint-Pierre-et-Miquelon sont-ils prêts ?

Les médecins ne pourraient plus prescrire librement ? Faux ! En France, le Conseil d’État a rappelé que le Plaquenil pouvait être prescrit en dehors des indications de son autorisation de mise sur le marché. En Belgique, des médecins se rebiffent et dénoncent la politique vaccinale qui est entièrement pilotée par des lobbies et non par des médecins. La science a pris un tournant vers les ténèbres. Est-ce le cas à Saint-Pierre-et-Miquelon ?

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Sont-ils prêts si des malades atteints par la COVID-19 présentaient des symptômes qui pourraient éventuellement se transformer en hospitalisation ? À ce jour, il n’y a aucun cas grave et deux hospitalisations dites « de confort » sans symptômes. Mais demain ? Sont-ils prêts pour prescrire un traitement qui fait ses preuves ailleurs ? Sont-ils libres de le faire ? La question mérite d’être examinée.

Dans un arrêt du Conseil d’État N° 440244, du 28 janvier 2021, il a été demandé d’annuler un décret parce qu’il mettait fin à la possibilité pour les médecins de prescrire l’hydroxychloroquine pour les malades atteints de covid-19. Le recours a été perdu parce que le Conseil d’État a jugé que l’hydroxychloroquine (Plaquenil) pouvait être prescrite aux patients atteints par la COVID-19 et ce « en dehors des indications de son autorisation de mise sur le marché.« 

Extraits :

« L’usage de l’hydroxychloroquine dans les indications de son autorisation de mise sur le marché est bien documenté, il peut provoquer des hypoglycémies sévères et entraîner des anomalies ou une irrégularité du rythme cardiaque susceptibles d’engager le pronostic vital et présente des risques importants en cas d’interaction médicamenteuse. Son administration, si elle peut être le fait de médecins de ville, suppose ainsi, non seulement le respect de précautions particulières, mais également un suivi spécifique des patients, notamment sur le plan cardiaque.« 

« Il résulte de ce qui été dit ci-dessus qu’en autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine aux patients atteints de covid-19, […] le Plaquenil était susceptible d’être prescrit en dehors des indications de son autorisation de mise sur le marché. Par suite, le moyen tiré de ce que les dispositions contestées méconnaitraient la liberté de prescription des médecins ne peut qu’être écarté ».

Ainsi, de nombreux médecins prescrivent l’hydroxychloroquine – en suivant le protocole du Professeur Raoult – ainsi que de l’Ivermectine. C’est ce qu’on appelle un usage compassionnel. D’ailleurs, si ce traitement était dangereux, le Professeur Raoult aurait été lourdement condamné par ses pairs. Or, pour éviter le ridicule de l’accusation, le Conseil de l’Ordre des médecins n’a infligé qu’un blâme. Contentons-nous de rappeler que ces traitements sont tombés dans le domaine public et ne peuvent plus servir les profits de l’industrie pharmaceutique.

En fait, il suffit que les médecins mettent en avant leur serment d’Hippocrate, le droit qui les protège et leur permet de prescrire, y compris dans le cadre du traitement de la COVID-19 ! Le préfet peut continuer à compter les cas positifs, mais les médecins doivent être en mesure de traiter les malades pour éviter de voir une possible saturation des services du CHFD.

Il est difficile d’être non-conformiste aujourd’hui, mais le courage rend tout plus facile et compréhensible, comme la situation ci-dessous le rappelle.

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Des médecins se rebiffent :

Dr Alain Coligon : « Les médecins sont nombreux à penser comme moi, mais ils n’ont pas le courage et je les comprends. Quand on a 45 ans une maison à payer et des enfants à l’université, comment pourraient-ils, comment peut-on leur demander d’avoir le courage de prendre le risque d’être radié ? Moi, je n’ai pas peur le d’Ordre ! « 

Le Docteur Alain Colignon, avec deux autres médecins, intente un procès contre l’État belge. Il demande à être entendu par l’Ordre des médecins pour que soit rendus publics les effets catastrophiques des vaccins. Oui, c’est en Belgique, mais la situation est tout à fait comparable en France.

Dans la vidéo ci-dessous, en direct, sans commentaire, il dit les choses telles qu’il les ressent en tant que médecin. Si son objectivité le conduit à condamner certaines publications d’anti-vax qui desservent la cause défendue, il dit notamment ceci :

« La politique vaccinale est entièrement pilotée par des lobbies et pas par des médecins ».[…] « Priver les médecins du droit de traiter avec des médicaments totalement inoffensifs est criminel ».[…] « J’ai traité 150 patients atteints par la COVID avec l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine et je n’ai aucune hospitalisation aucune réanimation ni besoin d’oxygène. Les études qui discréditent ces traitements sont le fruit de collusions extrêmement douteuses ».

Il cite notamment, celle publiée par le Lancet et retirée quelques jours après.

« Je n’ai jamais vu des vaccins avec autant d’effets secondaires. Là, c’est une certitude ». Enfin, ce médecin n’hésite pas à dire que « on est dans la criminalité organisée, car il n’y a aucun intérêt pour des enfants de 5 à 11 ans de se faire vacciner ».

« La science a pris un tournant vers les ténèbres. L’argent et la science ne vont plus bien ensemble ».

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https://www.kairospresse.be/proces-dun-medecin-belge/

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Lettre ouverte au Conseil de l’Ordre des médecins en Belgique :

« JE N’ACCUSE PAS, JE CONDAMNE !« 

par le Dr Alain Colignon (Chirurgie Vasculaire).

Lecture recommandée à tous les médecins de l’archipel.