Depuis le 24 août, le personnel de la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS) est informé par courrier des conditions d’application de l’obligation vaccinale (voir copie de la lettre ci-dessous). « Tant que la circulation du virus n’est pas avérée », la direction de la CPS l’appliquera, sans toutefois imposer des tests PCR toutes les 72 heures.
Il convient de rappeler, que « la méconnaissance, par l’employeur, de l’obligation de contrôler le respect de l’obligation vaccinale est punie de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe » (1 500 € maximum) ! Pour les salariés, c’est la suspension du salaire ! Ils sont donc contraints au vaccin alors que le virus ne circule pas dans l’archipel.
Les gendarmes et les pompiers sont aussi soumis à cette obligation vaccinale (pas la police), quant aux agents du Centre Hospitalier François Dunan (CHFD), ils attendent toujours le retour du directeur ! Si un hôpital doit prendre soin des malades et faire preuve de bienveillance, il n’en est pas de même en ce qui concerne son personnel. (Le soir le la publication de cet article – 2 septembre 2021-, le Directeur du CHFD a enfin adressé une lettre similaire aux agents du CHFD)
Cette première page rappelle les lieux où la loi s’impose.

La seconde page expose le calendrier des conditions fixées par le décret.

La troisième page fixe les règles de l’application locale :

La conclusion n’est pas trop sympathique, mais c’est la loi !
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Donc, à compter du 16 octobre, comme en métropole, le couperet tombera pour ceux qui n’auront pas les deux doses !
Dans le précédent article sur le sujet, (Adresse aux personnes vaccinées sous la contrainte), il est exposé quatre phrases qui relèvent différentes approches.
- 1- « Je suis contre les vaccins ARN-messager » :
- 2- « Je suis contre, mais je suis obligée » :
- 3- » Je refuse et j’irai au bout » :
- 4- « Je change de métier, « j’me tire » » :
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Isolés, les agents concernés sont coincés et/ou risqueront une suspension de leur salaire au moins jusqu’au 15 novembre, date limite d’application de la loi. Mais il y a fort à parier que ce gouvernement, géré par le cabinet de consultant privé McKinsey (voir explication imagée et liens ci-dessous), imposera à ses députés godillots de LREM le vote d’une nouvelle loi pour prolonger cette obligation.
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La gestion de l’État par McKinsey
Comme le démontre l’enquête du journal Le Monde, en compressant tous les moyens des services publics, l’État n’est plus en capacité de gérer la France et la crise sanitaire est là pour le démontrer.
Le Monde : « McKinsey, un cabinet dans les pas d’Emmanuel Macron ». « Enquête : Commission Attali, rédaction du programme présidentiel, élaboration de la stratégie vaccinale contre le Covid-19… Comment le puissant cabinet de conseil américain accompagne le chef de l’État et intervient dans de nombreux dossiers sensibles. »
La Dépêche commente : « Qui est le mystérieux cabinet McKinsey, qui accompagne Emmanuel Macron de la création d’En marche à la vaccination contre le Covid-19 ? »
Extrait :
De McKinsey aux ministères
« Une fois Emmanuel Macron élu en 2017, de jeunes consultants de McKinsey rejoignent le pouvoir : directeur adjoint du cabinet du secrétaire d’État au Numérique, chef du « pôle projets » de la République en Marche, directeur général de la République en Marche. Éric Labaye, le dirigeant de McKinsey qu’Emmanuel Macron avait rencontré en 2007, a été nommé président de Polytechnique par Emmanuel Macron en août 2018. De son côté, l’ancien patron des Jeunes avec Macron, Martin Bohmert, a rejoint le cabinet McKinsey en 2020.«
Médiapart pose la question : « Comment une société domiciliée dans un paradis fiscal peut-elle être sélectionnée par l’État pour un plan de réduction de la dépense ? » (ICI)
Tout ceci permet de comprendre :
- La décision du Conseil constitutionnel,
- La gestion de la crise par un Conseil de défense tenu au secret,
- La mise à l’écart du parlement et les injonctions imposées aux députés LREM pour exécuter les ordres du Président,
- L’entêtement du gouvernement à vouloir imposer sa réforme du chômage et la réforme des régimes de retraite !
Et il faudrait avoir confiance !
Les syndicats appellent à la grève le 5 octobre !
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