Il y a des journalistes qui présentent des faits et ceux qui les commentent. Il y a des médecins qui présentent des faits et d’autres qui défendent des laboratoires pharmaceutiques. Ci-dessous, ce sont les propos d’un médecin qui ne connaît pas de conflit d’intérêt avec les laboratoires pharmaceutiques.
« Il y a des gens qui font des tests toutes les semaines ! Les tests devraient être remis entre les mains des médecins sur prescription médicale. Faire des tests massifs sur une population générale en bonne santé, c’est n’importe quoi !
Si demain je vais au ministère de la Santé faire un test sur le Covid, je trouve de suite, au moins 30 cas sur 1000 fonctionnaires. Si je fais le même test pour la tuberculose, je trouve aussi 30 tuberculeux au ministère de la Santé ! C’est totalement délirant d’un point de vue épidémiologique ! On ne fait pas des tests massifs sur une population en bonne santé. Ça, c’est juste pour instrumentaliser une fausse épidémie. Je ne suis pas un dénégateur, l’épidémie existe toujours, mais avec un taux de mortalité qui est très faible. »
Pour les enfants à l’école, attention a ce que l’on appelle des cas positifs ! Il y a environ 30 à 40 % des tests qui sont de faux positifs. Ce n’est pas la faute des labos, c’est la limite de la technique ! On est en train de générer une fausse épidémie avec des gens qui ne sont pas malades.«
La journaliste : « fermer une classe pour un cas positif, c’est exagéré ?
« Si l’enfant présente des symptômes, toux, difficultés respiratoires, ça peut être logique de fermer la classe, de dépister autour pour faire une bonne enquête. Si c’est un cas sur un gamin qui va très bien et a qui on a fait un test qui se révèle positif, mais qui n’a aucun symptôme, ça n’a aucun sens ! »
Normalement, quand on fait une PCR sur un virus, on doit s’arrêter à une vingtaine de cycles. Si on va au-delà on court le risque d’avoir beaucoup de faux positifs. Or aux États-Unis et en France, on amplifie jusqu’à 45 cycles ! On est en train de générer, et je pense que c’est intentionnel et je ne comprends pas pourquoi, une fausse épidémie avec des milliers de cas partout qui ne sont pas des gens malades. »
L’entretien complet :
Christian Perronne est un médecin et professeur des universités-praticien hospitalier français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, et ancien président de la commission spécialisée Maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique.
« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. » (Jean Jaurès)

À Saint-Pierre-et-Miquelon,
au 11 septembre, 6 tests positifs, zéro malade, zéro hospitalisation, zéro réanimé, zéro décès. Des enseignants et des enfants masqués pour rien ! Vous avez le loisir de me contredire avec des éléments qui ne proviennent pas de toubibs de plateaux télé et/ou rémunérés par des laboratoires pharmaceutiques.
L’équipe de Foot de l’ASSP privée de coupe de France !
Entretien avec Georges LEROUX, Président le l’ASSP au micro de SPM 1ère dans le journal du matin du 10 septembre. Le club de Football avait pris tous les engagements pour que tout se passe bien, mais voilà, 6 tests positifs sans malade dans l’archipel et l’irrationnel prend le dessus. Le Président du club ne comprend pas.
Extrait :
Une fausse épidémie sans malade qui provoque de vraies décisions totalement déconnectées de la réalité objective.
