« Il n’y a pas de raison » d’interrompre les suppression de postes et de lits au CHRU de Nancy, qui prévoit la suppression sur cinq ans de 174 lits (sur 1.577 en 2018) et de 598 postes au CHRU de Nancy (sur environ 9.000). Ces propos, tenus en pleine épidémie de coronavirus par le directeur de l’Agence régionale de santé (ARS) Grand Est, ont suscité un tollé durant le week-end. « Nous aurons quelques semaines de retard mais la trajectoire restera la même », avait-il ajouté.
La lettre adressée au Premier Ministre par le Président des Médecins et du Conseil de surveillance demande solennellement au gouvernement de lever toute ambiguïté sur la politique de l’État en matière de santé publique. Les plans de retour à l’équilibre par le COPERMO (comité interministériel de la performance et de la modernisation de l’offre de soins hospitaliers), les abaques (instrument de calculs) et doctrine ne sont plus adaptés à la situation présente, insistent les auteurs du courrier (ci-dessous).

Olivier Véran tente de temporiser, mais ce directeur d’ARS, nommé par le gouvernement ne peut pas faire autre chose que d’appliquer les directives du gouvernement !
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Le directeur de l’ARS du Grand-Est limogé : «Je ne suis pas en colère»
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« Les Français ont mis un gamin à Élysée ! »
En conclusion, les propos de cet intellectuel me conviennent parfaitement !
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